Jeudi 10 mai 4 10 /05 /Mai 00:38

 

J'ai dormi près de vous cette nuit, si loin pourtant, le collier dans la main ,et vous dans mon coeur.

J'ai dormi loin de vous cette nuit, encore une, si près pourtant, le collier dans la main et vous dans mon coeur.

Par Coquelicot - Publié dans : humeur du jour
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 02:32

IV

LA BOUTEILLE D’EAU

 

 Il avait un peu faim et décida qu'il était l'heure de préparer quelque chose à manger. Le temps qu’il cuisine un excellant velouté de potimarron il me donna quelque livre à feuilleter afin de me faire patienter. Le premier de la pile étant d'un artiste japonais qui dessine à la manière des estampes, des images érotiques et cruelles à la fois, parfois très choquantes, parfois assez drôles...Je pense que ce n'était pas un hasard s'il l'avait posé sur le dessus de la pile. Je m’escrimais à m'assoir de la manière la plus confortable possible, cela devait beaucoup l'amuser. Je déjeunai donc  ainsi, assise sur mon plug. Cette situation insolite me ravissais, par moment je n’y réfléchissais plus et par d’autre cela m’excitais terriblement. Je crois que  le plus stimulant  c’était l’idée que lui avait dans la tête. Il se régalait de la situation je suppose, peut être y pensait il tout le temps, pas comme une obsession mais plutôt comme une arrière-pensée qui venait titiller sa matière grise. J’acceptais volontiers les deux verres de vins qu’il me proposa. Je bu un café. Je fumai une clope à la fenêtre.  Je me rassis à la table ,il me mit une montre au poignet gauche. Je m'interrogeai, pourquoi une montre?

 « tu vois quelle heure il est?
-oui quatre heure moins de quart. » Répondis-je un peu inquiète.

Puis arborant un sourire délicieusement vicieux il attrapa une bouteille d'eau me disant que j'avais une heure pour boire cette bouteille et une partie d'une autre déjà entamée posée sur la table désignant un des traits moulé dans le plastique comme repère. Je compris de quoi il s'agissais et je regrettais déjà d'avoir bu un café.

Il me passa le collier autour du cou et y fixa sa laisse.
« En attendant on va regarder quelques films. »
Nous nous installions devant son pc, il passa plusieurs extrait. Entre autre des japonaises buvant des quantités assez impressionnantes de sperme déversées dans des saladiers ou autre récipient à taille assez impressionnante. Dans certains extraits il s'agissait d'américaines entourées de mâles bien membrés, aux éjaculations copieuses...Et, chose qui l'excite beaucoup des filles glissant leur poing entier dans la chatte d'une autre...J'en reste toujours impressionnée d'ailleurs .Durant  ce temps je m'activais à boire toute cette eau, j'avais l'impression que ma vessie allait explosée!!! Il se leva me disant :

 « j'ai envie d'aller pisser. Il revint des toilettes lâchant un soupir de soulagement ,ah ca fait du bien !me regardant avec son fameux sourire. Tu peux finir avant si tu veux. »

 Il me restait encore un quart d'heure mais je n'en pouvais plus, le plug appuyait sur ma vessie. Je fini ce qu'il me restait à boire ,il me demanda de me déshabiller totalement. Je m'exécutai. Il alla chercher son appareil photo à l'étage, moi je me tortillais comme une gosse qui demande la permission au Maître à la dernière minute :

 « Dans la baignoire. »

J'y allais faisant preuve d'un effort surhumain afin de ne pas me tortiller devant lui. Mon ventre gonflée au maximum poussait le plug vers la sortie, je le repoussais régulièrement de sorte qu'il  reste en place. J’étais accroupie dans la baignoire, tremblante , le moins que l’on puisse dire c’est que je n’en menais pas large. Il alluma le robinet du lavabo, un petit filet bien bruyant s’en échappait maintenant. C’était divinement sadique, et même si ça ne se remarqua pas sur mon visage je souris intérieurement :

 « T'as envie de quoi là tout de suite?

-de faire pipi, lui répondis-je, les larmes aux yeux de me retenir.

-Il va falloir me le demander.

-Est-ce que je peux faire pipi s'il vous plait? Il me tendit un verre.

-tu peux mais tu ne dois pas déborder!"

Mon muscle était tellement contracté que je dus faire preuve de concentration pour réussir à pisser, j'y allais doucement je ne voulais pas en mettre une goûte à côté, mais je me disais que je n'allais jamais réussir à m'arrêter. A mon plus grand étonnement j'y parvint, pas une seule goûte à côté !

« Ca va mieux? J'acquiesçais. Alors au boulot!», il me présenta sa queue déjà bien enflée, je m'exécutai.

 « Stop! Comme je ne m’arrêtai pas assez vite il repoussa ma tête

- stop! »

Il me retendit le verre et je réitérai l'opération. Il le vida également, pour me le retendre ensuite. Ou voulait-il en venir? Allait il me faire vider ma vessie de cette manière? Une fois le verre remplit:

« Garde le dans les mains. Tu vois tu as bu beaucoup d'eau, ton urine est donc bien diluée, bien claire, c'est quasiment de l'eau, tu vas en gouter un peu! »

Voilà ce que je redoutais le plus me tombais dessus, je restai un long moment regardant se verre qui réchauffait mes mains de sa tiédeur, puis je trempai mes lèvres aspirant une larme, voir même une demi larmes.

"Encore!"

Il compris que s'il ne m'ordonnais pas une quantité à boire j'allais continuer à juste tremper le bout de mes lèvres. Il me montra un trait sur le verre, comme pour la bouteille d’eau, ça ne sembla pas faire beaucoup et en bonne soumise je me jetais à l'eau. Mais le goût était très fort et l'expression de mon visage devait être parlante car il me dit :

« C'est bon. Me regardant avec tendresse, tu ne l'aurais pas fait si tu n'en avais pas envie n'est ce pas?

-non je ne l'aurais pas fait.

-Ok, tu peux te vider. »
Il resta me regarder tout le temps ou je vidai ma vessie me disant que de me regarder ainsi l'excitait beaucoup.

 « Aller rince toi et rejoins moi à côté. »

Je passa du savon sur mes pied, jambes et chattes. Je tremblais, j’avais froid. Puis avec le jet du pommeau de douche je rinçai, mais je rinçai aussi ma bouche. Le goût fort et âpre semblait collée à mon palais, je rinçai, crachai tout ce que je pu. Même sortie de la baignoire je continuais dans le lavabo. J’étais terriblement troublée, mon sentiment se baladait entre l’excitation et le dégoût. Oh mais quelle soumission !Je n’en revenais pas moi même !A partir de ce moment là, l’image de mon très cher Maître vidant sa vessie sur mon corps, me baptisant à la pisse ne cessa jamais vraiment de me quitter. Je l’avais laisser entre ouvrir une des portes que je pensais fermée à double tour, quoique j’aurais du me douter qu’elle n’attendait que d’être poussée. Je me rappelle y avoir régulièrement pensé depuis le jour ou j’ai regardé le film « Les Nuits Fauves ». Il y a un passage où Cyril Collard  se fait pisser dessus par trois ou quatre mecs. Le jour ou je vis le film je fis comme toutes mes copines « beurk ! », mais pourtant au fond de moi l’image de cette scène me troublait complètement. Sans vraiment pouvoir mettre des mots sur cette sensation  particulière je ressentais  déjà un profond désir de soumission. Une soumission la plus absolue dont  je puisse faire preuve, sans condition. Je n’y pensais plus trop, ayant durant ces dernières années enterrer ce genre de fantasmes, un peu honteuse certainement. Mais de temps en temps, à des moments ou je me masturbais pensant à des scène de soumission, me faisant peloter, enfiler et inonder de spermes par une assemblée de mecs,  je finissais par me faire rincer à la pisse. Cette introduction à l’urophilie me remis cette idée en tête.

Je n’eu pas beaucoup le temps d’y réfléchir car mon très cher Maître m ‘attendait dans la pièce à côté. Je sortis de la salle de bain. Il était à l’étage. Je restai alors quelques instants près du radiateur histoire de me réchauffer un peu, un peu perdue dans mes pensées…ça n’allait pas durer longtemps. Il redescendit le bâillon dans les mains. Il me le mis.  Il voulais me passer les bracelets de cuirs au bras mais mes bras étaient trop fins, il me passa alors ceux en tissus, et les bracelet en cuir aux chevilles :

« Allonge toi sur le ventre, là. »Me dit-il en désignant le pouf.

Il accrocha mes poignets aux pieds en métal, puis m’intima d’ écarter les jambes :

« Complètement, je veux qu’elle soient de chaque côté du fauteuil ! Voilà c’est parfait. »

Il attacha également mes chevilles. Je ne pouvais plus bouger, complètement à sa merci, j’adorais ça. J’étais bonne pour la fessée, je me doutais bien qu’il avait l’intention de bien échauffer mes fesses et ma voix ! Tout d’abord il fit claquer le plat de sa main sur mes fesses, bien fort et en série, de grosses fessées douloureuses qui évidemment me firent crier. Puis estimant certainement que qu’elles n’étaient pas assez rouge il alla se munir d’une spatule en bois, claquant parfois doucement mais rapidement puis à d’autre frappant  avec vigueur.  Il retira alors le plug gardé au chaud depuis plusieurs heures, tout en douceur comme il sait si bien le faire, ce qui m’arracha quelques gémissements atténués par le bâillon. Il pris quelques photos de mon anus ainsi bien ouvert, tout prêt à accueillir sa queue ,le cul rouges d’avoir été fessée avec autant de fougue. Il commença à me pénétrer, brutalement, à tel point que ses à-coups faisaient avancer le siège. Je criais, soufflais fort à travers les trous du bâillon. Il se retira un moment me disant :

« Je t’avais prévenue que t’allais te faire enculer ! »

Puis il me pénétra à nouveau, restant par moment sans bouger lové au chaud dans mon trou du cul, reprenant ses vas et viens. Mais mon pauvre anus avait dû en prendre trop d’un coup et s’était irrité, il commença a me faire mal. Je lui fis savoir. Il arrêta alors. Puis ma main droite commençait à s’engourdir, il me détacha complètement. C’était au tour de ma petite chatte de se faire baiser ! Nous montions à l’étage.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Mardi 8 mai 2 08 /05 /Mai 00:57

 

III

PROMENADE AU PARC

 

Au petit matin, alors que nous avions dormir l'un contre l'autre nous  commencions  à nous caresser, c'était très doux, très sensuel. Après être resté regarder ma chatte quelques secondes  me complimentant à son sujet il se mit à la lécher ,la sucer, me doigter au passage. Il le fais divinement bien et cela me valut plusieurs orgasmes. Puis une fois rassasié il me  dit:

 "je vais te servir le petit déjeuner au lit se sera à moi de te servir pour une fois!"

En effet je fût royalement servi : jus d'orange pressé pain d'épice céréales etc. Nous avons ainsi déjeuné au lit, c'était un moment exquis, emprunt d'intimité. Mais il n'était pas question qu'il me laisse tranquille!

Une fois le petit déjeuner fini, douche prise, il me regarda et me dis "tu sais ce qui t'attend aujourd'hui?
-oui, je vais devoir me mettre le plug moi même et nous allons nous promener au parc.
-exacte! On va commencer, aller à l'étage!"
Je m'exécutais sur le champs.
« A quatre pattes sur le lit !Il me tendis le plug et le gel.

-Aller prépare toi, je me préparai alors, à mon grand étonnement le plug rentra aisément.

- Habille toi maintenant, tu devrais mettre une culotte ou il va tomber, ce pourrait être gênant n'est ce pas? »

Je passais alors une mini jupe en jean ,un débardeur blanc mes porte-jarretelles des bas résilles et mes si jolie bottes... Nous avons passé un bon moment au parc, nous parlions de choses et d'autres, nous promenant main dans la main.. Il y avait de prime abord quelque chose d’assez insolite dans le couple que nous formions. Un homme d’âge mure, vêtu de manière chic et un jeune femme habillée et maquillée  comme une pute. Je m’amusais beaucoup de cette situation. En plus ce petit secret invisible aux autres me gardait à ma place : j’étais sa soumise et quand l’idée m’échappait trop longtemps il me le rappelait que se soit en poussant le plug un peu plus profond, ou en me demandant si je sentais bien ce que j’avais d’enfoncé dans le cul . Dans ces moments là il arborait toujours son sourire si vicieux que j’aime tant. Ce mélange de douceur et de lubricité était à l’image de ce dimanche,  le ciel se parait d’un magnifique soleil mais le vent qui se glissait sous ma jupe était terriblement glacé. Journée emprunte de nuances et de contradictions, entre le raffinement et la perversité, un peu comme moi cette jeune femme aux airs naïfs et pourtant tellement chienne . Je me demandais tout de même ce qui m’attendait cet après-midi là. Quand nous sommes rentré je pensais enfin être soulagée de ce « poids » ,mais c’était sans compter sur la perversité de mon très cher Maître. Il avait déjà une autre idée en tête.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 22:22
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A l'instinct d'un instant,
Je devient l'animal, la captive, la docile.
Immobile et halletante, j'attend votre corps, votre envie.
Sans objection je devient votre objet,
Votre jouet, entre vos mains habiles, je deviens l'instrument.
Par Coquelicot - Publié dans : En aparté
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 22:08

II

HORS JEU

 


Après m'être lavé la figure et les parties intimes je m’habillai.
Il me proposa d’aller au Palais de Tokyo voir ce qu’il y avait comme exposition, cela m’enchantai évidemment, nous allions pouvoir enfin partager une autre de nos passion commune l’art plastique. Comme dans la foulée nous allions dîner au restaurant je décida de ne pas remettre de rouge à mes lèvres, j’optais pour un maquillage plus « tout terrain ». Dans le métro il  demanda si j'avais remis une culotte, ce que j'avais fait .Il me fis part de sa petite déception :

« Dommage j'aurais du te dire de ne pas en mettre. »

Nous arrivions sur les lieux, et par chance il avait besoin d’aller au toilettes . Je lui répondis que moi aussi, mais je n’avait pas vraiment envie de faire pipi, j’avais surtout envie de rattraper une petite erreur, je voulais lui faire plaisir, j’enlevai alors mon string que je pliais et rangeait dans mon sac.. Je perdis  quelques minutes, j'avais du mal à refixer mon porte-jarretelles. Il m’attendait assis dans un fauteuil orange, il se leva et me rejoint :

"excusez moi j'ai mis du temps mais j'ai eu un problème…euh… d'ordre technique.
-ah oui? s'étonna-t-il
-oui j'ai voulu vous faire plaisir et j'ai retiré mon string mais j'ai eu quelques difficulté à remettre mes porte-jarretelles."
Il était ravi! Cette pensée pouvait                ainsi l’accompagner  durant notre visite. Nous sommes resté un moment à feuilleter des livres d’arts dans la librairie du Palais, partageant nos impressions sur tel ou tel artiste. C’était un moment vraiment privilégié, je ne sais pas, nous étions absolument complices, j’apprenais à le connaître d’une autre manière. Il ne restait du jeu que le vouvoiement et mon absence de petite culotte !  Il m’invitait ensuite dîner dans un restaurant près de chez lui. Un nouveau trajet de métro nous attendait. Moi à force de rester debout avec mes talons hauts j’avais les pieds qui commençaient à fumer. Nous nous amusions de la situation, il me dit qu’à ma prochaine visite il m’ordonnerait d’apporter des baskets. Mais l’idée de ma petite chatte en plein courant d’air n’avait pas quitter son esprit pour autant et il partagea son envie de le constater par lui même.  Mais difficile de trouver un coin tranquille, il aurait bien soulevé ma jupe.   Nous fûmes alors dans un petit escalator relativement isolées, il  glissa sa main sous ma jupe caressant généreusement ma fente. Vous n’imaginez pas l’intensité de cette sensation qui traversa mon corps de part et d’autre ,il aurait pu à ce moment précis m’emmener dans un coin tranquille et me baiser sur le champs !Il se colla à moi ,me faisant sentir l'effet que cela lui faisait...il me semble que cela lui alla droit au fond du slip, comme il aime à le dire. Il était loin d'en avoir fini avec moi.

Nous sommes aller dîner au restaurant, avec le porto que je pris en apéritif puis les deux verres de vins rouges je ne me sentais pas vraiment saoule mais un peu grisée, j’étais plus à l’aise. C’est je pense la première fois que je fut totalement naturelle avec lui. Je ne sais plus très bien ce que j’ai pu débiter comme âneries ,mais je crois que de toute manière il s’en amusa.   Une fois le repas terminé nous allâmes  dans un petit troquet sympas à Mesnil Montant. C’était un bar très rock n roll ,doté d’ailleurs d’un karaoké rock n roll, ainsi que d’une clientèle rock n roll. Une fois nos verres finis nous primes un taxi qui nous déposa devant chez lui.  Il commença déjà, à peine franchie l’énorme porte en bois de la cour, à passer  sa main sous ma jupe, j’avais l’impression que j’allais fondre sous la chaleur de cette caresse.
Lorsque nous eûmes réintégré son appartement je du me mettre au boulot :
"Enlève ta chemise et ta jupe!"

Il mis le tabouret de bar devant lui, enlevant la table basse, il le colla à son fauteuil et posa le gode dessus : 

«  Prépare le ! Je lui mis une capote .Met du gel et branle le, montre moi comment tu t’y prends.  Aller dépêche connasse ! Je m'appliquais donc à bien enduire ce gode. Sur ta chatte maintenant!"

Je me retrouvais assez vite très excitée, assise sur le tabouret, m'enfonçant le gode. Je le posai à plat m'empalant dessus, montant descendant, tantôt en profondeur, tantôt de manière très rapide , tournant mon bassin, accélérant le mouvement, il n'en perdais pas une miette! Il prit pris quelques  photos, puis se masturba. Ne se privant pas de me dire à quel point j'étais bandante. Je prenais un pied fou, le voir apprécier le spectacle multipliait mon plaisir. Je continuais ainsi jusqu’à ce qu’orgasme s’en suive, j’étais encore haletante et transpirante quand il me regarda le sourire au bord des lèvres :

"tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant? Je hochais la tête, aller au boulot!"

 Je le suçais avec application et dévouement , c’est un véritable plaisir pour moi de sentir une queue enfler et durcir de plus en plus dans la chaleur de ma bouche :

« Quelle bonne pipeuse tu es ! »

Il ne lui fallut pas très longtemps avant d'inonder ma bouche de son sperme bien chaud.  Quel bonheur au moment ou la première giclée assez puissante vient envahir de son goût si particulier les papilles gustatives.

"Hum t'as tout avalé on dirait!"

Nous nous couchâmes , il était déjà tard et nous avions encore un programme chargé qui nous attendait . Il m'embrassa tendrement et éteignit  la lumière. Moi pourtant grande insomniaque je m'écroulais plongeant vite dans un profond sommeil.

 

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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