Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 14:33

Le rythme cinglant des coups de cravaches, sonne encore à mon oreille.
"Pardonnez moi" ai je du vous dire lorsque vous m'avez signifié l'erreur, et puis "Merci", soufflé d'entre les dents encore serrées, quand la dernière morsure est venu clore cette punition.
Par Coquelicot - Publié dans : En aparté
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Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 14:30

Scandaleusement candide, innocemment provocante…comme une jeune fille prête à se donner.

Infiniment sexy et divine elle s’exhibait aux regards indiscrets telle une orchidée qui vient d’ouvrir ses délicats pétales, désireuse de se faire butiner.

Il scrutait ces formes harmonieuses et l’agréable rebond de sa petite chatte qu’on distinguait nettement pour peu qu’elle ne plie un peu trop la jambe.

Gracieux petit félin ,adorable petite chienne qui s’offrait à lui sans aucune pudeur.

 Ses lèvres couleur coquelicot sur son visage si pâle faisait penser aux dunes de bord de mer. D’ailleurs il eu été possible de se noyer dans ses grands yeux verts.

Ce corps était une irrésistible invitation au sexe ,une porte ouverte à de délicieuses extravagances.

Elle était la pomme que l’on désirait croquer ,le fruit défendu…

Par Coquelicot - Publié dans : En aparté
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Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 14:10
LA NON DEMANDE EN MARIAGE

_______________________________________

Georges Brassens


Ma mie, de grâce, ne mettons

Pas sous la gorge à Cupidon

Sa propre flèche

Tant d'amoureux l'ont essayé

Qui, de leur bonheur, ont payé

Ce sacrilège...


J'ai l'honneur de

Ne pas te de-

mander ta main

Ne gravons pas

Nos noms au bas

D'un parchemin


Laissons le champs libre à l'oiseau

Nous seront tous les deux priso-

nniers sur parole

Au diable les maîtresses queux

Qui attachent les cœurs aux queues

Des casseroles!


J'ai l'honneur de

Ne pas te de-

mander ta main

Ne gravons pas

Nos noms au bas

D'un parchemin



Vénus se fait vielle souvent

Elle perd son latin devant

La lèchefrite

A aucun prix, moi je ne veux

Effeuiller dans le pot-au-feu

La marguerite


J'ai l'honneur de

Ne pas te de-

mander ta main

Ne gravons pas

Nos noms au bas

D'un parchemin


On leur ôte bien des attraits

En dévoilant trop les secrets

De Mélusine

L'encre des billets doux pâlit

Vite entre les feuillets des li-

vres de cuisine.


J'ai l'honneur de

Ne pas te de-

mander ta main

Ne gravons pas

Nos noms au bas

D'un parchemin



Il peut sembler de tout repos

De mettre à l'ombre, au fond d'un pot


De confiture


La jolie pomme défendue

Mais elle est cuite, elle a perdu

Son goût "nature"



J'ai l'honneur de

Ne pas te de-

mander ta main

Ne gravons pas

Nos noms au bas

D'un parchemin


De servante n'ai pas besoin

Et du ménage et de ses soins

Je te dispense

Qu'en éternelle fiancée

A la dame de mes pensées

Toujours je pense






 


Par Coquelicot - Publié dans : humeur du jour
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Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 12:13
III
LA BONNE NOUVELLE

Le surlendemain j’appris que je pourrais prendre le train et venir le voir à Paris le weekend qui arrivait .Je m’empressais de lui envoyer un mail !J’allais enfin le rencontrer ! J’étais excitée comme une puce ! je décidais alors d’aller faire les soldes me faisant véritablement plaisir . Je pris un rendez vous chez l’esthéticienne, chez la coiffeuse . Je voulais être parfaite, je voulais qu’à la seconde où il me voit il soit aussi séduit que lorsqu’il avait vu les photos. Je me souvenais de ce qu’il m’avait dit un soir durant une discussion sur msn :

« Ce que j’aime tout particulièrement chez toi c’est ton apparente naïveté, je suis sur que tu dois l’être d’ailleurs, et de savoir tout ce que tu es capable de faire par appétit sexuel ! J’ai l’impression d’avoir devant moi une lycéenne studieuse et que tu pourrais la seconde d’après te retrouver à pomper et faire gicler une quinzaine de mecs. C’est terriblement stimulant !

-Oui.

-Tu ne t’en tirera pas aussi facilement ! N’ai je pas raison quand je dis que tu saurais t’occuper d’une telle assemblé de mecs en rut ?

-Oui vous avez entièrement raison en affirmant que je saurais m’occuper d’une telle assemblée de mecs en rut.

-Qu’elle jolie salope tu fais ! »

C’est donc avec cette idée en tête que j’achetai une petite chemise blanche fournis avec la cravate et je dégotais une petite jupe plissée noire et blanche très courte. Avec ça j’allais ressembler à une véritable petite lycéenne. J’avais aussi repéré une magnifique paires de bottes en cuir noir à talon aiguilles. Elles étaient sublimes, je ne résistais pas je les embarquai également.

Arrivée chez moi je ne pu m’empêcher d’essayer tout ceci, je pris même plusieurs photos que je postai sur le fameux forum, le striptease de la petite étudiante dévergondée en quelque sorte.

Il me contacta dans la soirée, je n’étais pas disponible à la seconde, je devais terminer mon dîner aussi succin fut-il. Je l’invitais alors à aller voir les photos que j’avais postée l’après midi même. Lorsque j’eu fini je lui fit signe :

« Ca y est j’ai terminé.

-Je suis encore sous le choc de tes photos. Content de t’avoir inspirée.

-Contente que les photos vous plaisent.
-Ta cam, je veux te voir. »

Après m’avoir complimentée, il m’interrogea sur mes achats, heureux de constater quel soin j’apportais à me préparer. Il nous fallait à présent régler quelques détails à propos de ma visite :

« Tu sais ce que tu vas mettre pour venir ?

-non pas encore, bien que j’aurais pensé à la tenue de lycéenne.

-Ce sera parfait je pense. Penses-tu que ça ira avec le fait que tu ne portes pas de petite culotte ? Avec un manteau peut-être je ne voudrais pas que tu provoque une émeute ! Quoique je serais une émeute à moi tout seul quand je te verrais !

-Ca ne devrait pas poser de problème.

-Ok, bon la petite culotte, du moins si tu en porte une, tu vas la porter jusque vendredi, tu peux en changer pour une plus simple car tu devras me la laisser.

-Je vais en changer alors. En effet le string que je portais m’avais coûter vingt-sept euros !

-Tu le fais maintenant je veux te voir la changer. J’allais chercher un vieux string bordeaux, vieux mais encore en bonne état.

-Montre le moi !Puis j’enfilais ce string, pas exactement ravie de devoir le porter jusqu’au vendredi soir(nous étions le mardi).

- Pas toujours facile d’être soumise n’est-ce pas ?

-non.
-haha…il faut souffrir pour jouir ! »

Nous discutions un peu quand il me demanda d’enlever ma cravate mon chemisier et de me caresser les seins :

« c’est très sensuel comme tu les caresses, tu es vraiment faite pour le plaisir toi ! Je ne te caches pas que je suis en train de m’astiquer la pine… »

Puis il m’invita à bien me branler comme une grosse salope, à travers le tissus de mon slip. Il m’envoyait afin de me stimuler quelques photos, dont certaines de japonaises en train de boire des quantités assez conséquentes de spermes, dans un verre ou coulant d’une sorte de plateau et bien d’autre encore.

Le lendemain j’allais chez le coiffeur et comme il m’avait fait comprendre qu’il appréciait les cheveux long je précisais qu’il ne fallait couper que le strict minimum. Je restais un bon moment dans le salon, j’eu alors tout le loisir de m’interroger à propos du weekend qui arrivait à grand pas. J’imaginais le moment où il m’ouvrirait sa porte. Allais-je être à la hauteur de ses espérances ? Et puis tout de même n’étais-je pas en train de me lancer dans une histoire de fou ? Je me répétais pour me rassurer que d’une certaine manière je ne risquais pas grand chose, ce que l’on craint le plus lorsqu’on se rend chez un inconnu c’est qu’il abuse de nous, mais en quelque sorte je me rendais chez lui afin qu’il abuse de moi…Il avait de toute façon gagné ma confiance, n’ayant à aucun moment tenté de dissimuler ses intentions. Mes doutes venaient plutôt de ce qu’aurait pu penser un proche si je lui avais expliqué que j’allais me rendre à Paris chez un homme que je ne connaissais que via internet et ce depuis une dizaine de jours dans le but de m’adonner à quelques pratiques sm. La coiffeuse fit un excellent travail j’en sortis ravie.

Le soir nous discutions un peu sur msn, cam branchée pour moi bien évidemment. Il vérifia par la même occasion que je portais bien la culotte que je devais garder jusqu’au vendredi soir. Je la portais vous vous en doutez bien. Le lendemain montra le bout de son nez, les jours passaient si vite et pourtant si lentement. Deux jours, quarante huit heure et je me tiendrais devant l’entrée de son appartement. La journée se déroula avec une certaine nonchalance, s’étirant doucement jusqu’au soir. Il m’indiqua alors une dernière instruction : interdiction formelle de me masturber à partir de 23h30 jusqu’à mon arrivée chez lui, précisant au passage que ma chatte devrait être impeccablement lisse qu’il faudrait mieux que je vérifie.

Le lendemain matin j’étais donc allongée une cuisse écartée, sur la table de l’esthéticienne. Je ne m’étais jamais faite épilée à la cire, encore moins l’intégrale mais l’idée d’exposer mon intimité à une charmante jeune femme qui me faisait subir un mini supplice n’était pas pour me déplaire. Elle fut d’ailleurs totalement surprise de constater à quel point j’étais à l’aise, même pas crispée sur la table. En rentrant chez moi je contrôlai, la pince à épilée dans une main, accroupie au dessus du miroir afin d’éliminer les quelques rebelles qui ne se seraient pas livrés au passage de la cire.

J’avais invité un ami à diner le soir histoire de ne pas me retrouver seule. Je préférais éviter de trop cogiter à ce qui m’attendais le lendemain, ayant je vous le rappelle comme consigne de ne pas me tripoter. Mon train partait tôt le lendemain matin, une fois mon invité parti je préparai mes affaires et j’allai me coucher. J’eu quelques peines à trouver le sommeil, me réveillant toutes les demi heures constatant que l’heure n’était pas encore arrivée. Je pris une douche fini de faire ma valise, enfila un jean et un pull .J’étais sur le quai de la gare, fumant une dernière clope. Mon esprit se consumait à la manière de cette cigarette ,s’envolant en volutes d’idées. Mon entre-jambe était déjà bien trempée, il allait pourtant me falloir attendre quelques heures avant d’enfin pouvoir la contenter.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 20:01
P1050121de-pr--s.jpg J’aime votre compagnie
J’aime être dans votre lit.
J’aime passé du temps
A suivre vos enseignements.
Laisser glisser les heures
A satisfaire toutes vos humeurs.
Attachez moi et dites moi,
Toutes ces phrases indécentes.
Réveillez mon émoi
Et me voilà incandescente.


J’aime votre philosophie
Votre vision de la vie
Laisser instinctivement
Exister les événements.
Vivre les aventures,
Le temps qu’elles ne durent.
Cravachez moi et fessez moi
Je serais bien obéissante
Titillez mon émoi
Et je me ferais suppliante

 Notre bonne société certainement nous jugerait,

Trouvant ça déplacé, elle serait très choquer !
Mais quand bien même, je m’en fous
Ils peuvent s’ils le veulent nous traiter de fous.
Mais je sais bien qu’eux même, le soir quand ils s’endorment

Se retrouvent à leur tour dans des fantasmes hors normes !


 
 
Par Coquelicot - Publié dans : En aparté
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  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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