Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 23:43

IV

LE BAPTEME

 

A genou dans la largeur de la baignoire afin d’être face à lui, j’avoue que je ne faisais pas la maline. Je me dis « je n’ouvrirai pas la bouche , j’en serais bien incapable »!Il  faisait froid dans la salle de bain, j’étais nue et le contacte de la faïence sur mes jambes accentua mes frissons. Je baissai les yeux, jetant quelques regards furtif en direction de sa queue. Le jet d’urine  m’éclaboussa, j’avais froid et cette tiédeur me réchauffa de suite, ce fut une sensation très agréable. Instinctivement sans me rendre compte j’ouvris la bouche cherchant moi même à la remplir. Je prenais goût à ce jeu interdit, j’étais inondée de pisse et cela me ravissait. Mon œsophage restait fermé et je laissais le liquide couler le long de mes joues :
« Tu peux mettre ta tête en arrière que je vois bien ce que t’as dans la bouche ?Je m’exécutai, comme toujours.
- Tu peux avaler ? »
Et comme toujours et encore, sans même rechigner, je m’exécutai.  
« C’est pas bon hein ? »Me nargua-t-il, je le regardai subrepticement lui souriant.
Ma bouche étais déjà remplit de ce parfum si particulier, âpre et salé, un parfum de bouillon de poule aux vermicelles très concentré. J’en étais totalement recouverte, mes jolies couettes dégoulinantes, alors quand il me demanda d’avaler ce ne fut pas très difficile. Son jet dru et chaud vint rincer mon oreille. Je gardais les yeux fermés, et par moment quand il s’arrêtait je les entrouvrais, puis par surprise il recommençait, me faisant sursauter. Je ne saurais dire pourquoi, au delà de la soumission, quel plaisir j’ en tirai, mais alors que j’avais eu peur de ne pas y arriver j’y prenais goût. Une nouvelle fois il m’ordonna d’avaler, ce que fis sans une expression particulière, comme lorsque l’on avale un médicament à la saveur suspecte. J’étais assise au travers de la baignoire, comme une conne en train de se faire pisser dessus, et en bonne soumise que je suis cette situation m’enchantait.

Qui étais-je ? Ceux qui connaissaient la jeune femme provocatrice et au caractère bien trempé auraient-ils plus le croire ?Il n’y avait que lui que cela n’étonna pas, lui qui semble comprendre mieux que moi cette part de ma personnalité. Il m’avait dit avant qu’il pensait que j’ouvrirais la bouche moi même et que j’ avalerais et y prendre du plaisir. Je lui avais répondu que j’en doutais, enfin en tout cas je ne serais pas terriblement enthousiaste. Il est sur que je ne fus pas morte de rire dans la baignoire mais cet espèce de silence  ambiant rendit les choses très sensuelles. Il finit de se soulager sur sa chienne docile, sa soumise bien dévouée. J’étais trempée, et bien qu’il avait bu beaucoup d’eau et que son urine était très diluée l’odeur imprégnait mes cheveux. Je ne sais pas bien quelle sensation lui put exactement ressentir, j’en fus tout de même curieuse. Néanmoins je pus lire sur son visage cette expression de satisfaction. Je ne connais sentiment plus agréable que la reconnaissance de son Maître, quand il vient vous gratifier  d’une bonne caresse, ou d’un simple regard signifiant « C’est bien, c’est bien ma petite chienne » .
 
Il me donna alors sa queue à téter que j’avalai toute entière,  ses couilles écrasées à ma figure. Je la sentis gonflée dans ma bouche, sa main posé sur ma tête, me la maintenant parfois plaquée. Mais il s’arrêta là, il me réservait encore quelques surprises, la journée n’était pas encore terminée. Il quitta la salle de bain me disant de prendre ma douche.
 
J’eu tout le loisir de réfléchir à tous ça mais impossible à ce moment là de fixer mon esprit à quoi que ce soit. Quand je défis mes couettes l’odeur se fit plus forte, me rappelant celle qui embaumait mon palais. Je fus extrêmement troublée, j’avais avalé sans même rechigner, et pas une petite dose, je n’en revins pas. Il l’avait su avant moi, il avait perçu ça très vite, il semble parfois qu’il lit ma soumission comme un livre ouvert, c’est assez perturbant et sacrément jouissif. D’une certaine manière chacun détient les clefs du plaisir de l’autre, se qui nous permet de vivre un échange intense et harmonieux.

Je fis deux shampoings d’affilé afin de me débarrasser de cette odeur tenace, et frottai mon corps dans les moindre recoins. Je sortis de la baignoire, m’enroulant d’un drap de bain jaune me séchai sommairement les cheveux, puis entrai dans la pièce d’à côté. Il s’approcha de moi, m’embrassant , mon drap de bain glissa mollement à terre. Après cette étreinte je la ramassai et allai l’accrocher dans la salle de bain. Il me montra alors la petite vidéo de ce baptême, qu’il avait tournée au moyen de son appareil photo :
« Je n’en revenais pas, toute seule tu as ouvert la bouche ! »
Ce que je pu constater, moi non plus je n’en revins pas, en effet, très vite j’avais ouvert la bouche, je ne m’en étais pas aperçu ! Mon dieu quelle salope !Il me proposa de boire quelque chose, ce que j’acceptai volontiers, quelque chose de chaud, un thé.  
« Attends je vais te chercher ton tabouret afin que tu puisses t’asseoir »
Il grimpa à l’étage et attrapa le minuscule tabouret de pin sur lequel j’avais du m’asseoir à notre première rencontre. Et comme lors de notre première rencontre je devais écarter les jambes. Je m’assis. Il servis le thé. Mais cette pause ne dura pas éternellement.

 

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 16:21

 

III

THE BIG BOSS

Le moment fatidique où je dus présenter mon cul à ce nouvel ami fut arrivé. Dans l’absolu ce n’est pas un objet très gros, mais quand je pensai à la bonne place qu’il dut prendre je trouvai sa taille bien plus impressionnante. Il déposa une capote sur le haut de ce plug. De moi même, sans que l’ordre ne m’en soit donné je l’habillai au moyen de ma bouche. Il n’en revint pas de me voir engloutir ce truc faisant claquer le latex sur la résine en un « ploc » très particulier. Je mis la dose de lubrifiant, et j’entrepris de m’asseoir dessus. Je tentai de me servir d’un de mes doigts à la manière d’un chausse pied(enfin un chausse-cul pour le coup !) , tentant de dilater mon anus. Je voulais vraiment y arriver, j’eus tant aimé lire la satisfaction sur son visage. Je tentai et retentai, en vain. J’avançai tout de même un peu, m’approchant petit à petit du but. Il ne fallait pas pour autant que je me blesse, je ne pouvais pas vraiment faire de forcing. Je m’y pris avec douceur. J’étais installée sur le tabouret de bar et lui en spectateur c’était installé sur la chaise, aux premières loges.  Néanmoins la vessie pleine à craqué de mon très cher Maître commença à se rappeler à son bon souvenir. Tout au long de la dictée il n’avait cessé de boire d’innombrables verres d’eau. Voilà, l’heure du baptême avait sonnée, je jetai un coup d’œil rapide à ce plug rétif me disant que je n’avais pas dit mon dernier mot, peu importe que ce match se joue en plusieurs rounds je finirais par en sortir victorieuse !
« Déshabille toi et va t’asseoir dans la baignoire. »  

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Dimanche 24 juin 7 24 /06 /Juin 21:06

II

LA RENTREE

 

« Aller c’est l’heure de la rentrée ! »
Il alla prendre une douche pendant que moi je m’habillai en bonne élève. Deux couettes, ma chemise blanche et ma cravate, une jupe plissée, des chaussettes hautes et blanches ainsi qu’une paire de mule en cuir noir. Manifestement il sembla que je fis tout à fait convaincante. Il fut alors l’heure en bonne élève consciencieuse d’offrir mes petits présents. Il s’agissait de ce petit carnet que j’avais bricolé moi même durant une nuit entière, ainsi que quelques produits du terroir. Il fut très touché de mes petites attentions, j’en étais ravie. Sur le moment il me dit qu’il lui serait plus difficile de me punir maintenant, mais je lui faisais confiance en ce domaine cet élan d’indulgence n’allait pas durer bien longtemps.

Il m’installa à une table, à califourchon sur une chaise ,dossier face à moi.
« Tu écris ton nom en haut à gauche et la date à droite. »
Je m’exécutai. Il alla chercher le texte de la dictée. Il s’installa sur le tabouret de bar. Il n’était pas vêtu d’une blouse comme un instituteur d’antan aurait pu l’être, mais je le trouvais encore une fois très séduisant. Il portait un jean, une chemise bleue mauve aux rayures très fines et élégantes et portait ses lunette, cela lui donnait un air d’autant plus sérieux, je le trouvais particulièrement attirant. Il voulut commencer à détendre mon anus, j’introduisis alors mon plug. Il commença à dicter :
 
«  Dans le Coran, l’enfer musulman réserve au sodomite la première place.
Toutes les religions condamnent la sodomie. Y compris le bouddhisme malgré sa réputation de grande largesse d’esprit. Aux Etats-Unis, il a fallu attendre 2003 pour que la Cour suprême abolisse les lois qui la pénalisaient encore dans certains états.
Il ne m’aura, quant à moi, pas fallu attendre aussi longtemps pour m’affranchir de la peur de brûler en enfer.
J’avais pris pour habitude, dans la fraîcheur de mon âge, de m’ouvrir fastueusement la rondelle avec toutes sortes d’objets lisses et oblongs. A l’âge de vingt-cinq ans, j’étais devenue ce qu’il convient d’appeler une vraie salope, un sac à bites, comme se plaisait à me le rappeler l’un de mes mignons.
Il ne se passait une semaine sans que j’eusse fait écumer le manche à couilles de bon nombre de mes soupirants. M’y prenant tantôt à pleine gorge, tantôt dans la chaleur de mon trou du cul, il m’était toujours exquis de faire dégorger les turgescences de ces pines à grosses éclaboussures, fruits de mon application.
Il me faut reconnaître ne pas apprécier meilleur hydromel qu’une bonne becquée de sperme épais avalée d’un trait, sitôt giclée d’une tige encore chaude et écumante.
Cependant, mes frivolités me laissaient immanquablement équarrie, la rondelle béante d’où s’épanchait la semence de l’un ou de plusieurs de mes courtisans. Cette bonne jute que j’eusse tant aimé boire jusqu’à la lie, je me retrouvais piteusement condamnée à ne la sentir couler que le long de mes cuisses, fuyant de mon trou de balle épanoui tant j’aimais par-dessus tout, me ramasser une bonne enculade. »
 
A chaque fois que j’avais tendance à m’affaler sur mon cahier je recevais comme il se doit un bon coup, donné avec le plat d’une règle en fer :
« Tiens toi droite ! Non mais je rêve, c’est quoi cette position ? »
Le premier coup qui vint s’abattre ainsi sur mon derrière me fit sursauter. Il attrapa ma main gauche et vint la poser sur son entrejambe, je sentis à travers le tissus du jean la bosse formée par son sexe, c’était terriblement excitant, je sentis l’humidité se répandre dans ma culotte de coton blanc. Il dictait très vite et je perdais souvent le fil. Je n’étais pas vraiment concentrée sur l’orthographe, je ne pouvais m’empêcher de savourer ce texte. Puis je pensais que j’aurais l’occasion de me relire. J’avais sous-estimé la sévérité de mon Précepteur :
« Tu n’es plus en maternelle, tu n’as pas besoin de te relire. »
Je savais que ma dictée était truffée se fautes. Dix-huit en tout. Dix-huit coups de règles vinrent alors se claquer sur mes fesses, à chaque nouvelle fessée mon derrière se faisait plus douloureux. Il attendit quelques secondes :
« Je ne t’ai pas entendu me remercier après ta punition, tu ne connaissais pas cette règle je ne peux pas t’en vouloir, mais il va bien falloir que tu apprennes. »
Il m’asséna dix-huit nouveaux coups.

 Il me donna un porte-mine, il fut temps d’en venir à la correction des fautes. Je dus les rectifier moi-même, et si par malheur je vins à commettre une nouvelle erreur j’étais bonne pour une nouvelle claque. Il me laissa ainsi quelques temps, me conseillant de bien relire ma dictée instant sur mes fautes histoire que je ne les réitère pas . Il déposa sur la table près de moi ce qu’il appela « the big boss ». Je me demandai comment j’allais faire rentrer ce truc dans mon cul .Je dus maintenant relire le texte à haute voix, je fus à lecture de chaque faute affligée d’une nouvelle claque. Je ne dus pas changer le flot de ma lecture même quand le double décimètre vint s’abattre sur mon arrière train.
« Merci.
-Je t’en pris. »
 
Moi j’étais trempée, lui devais déjà être bien excité car quand il déboutonna son jean, assis sur son tabouret c’est une queue déjà bien dure qu’il brandit à ma bouche. Je me mis alors au boulot tentant de rattraper cette affreuse note. Bienheureusement j’étais plus douée pour la pratique. Puis il m’arrêta.

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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 16:26

CHAPITRE IV

Faut s’lever de bon matin pour voir un ingénu qui n’t’es pas connu…

 

I

ARRIVEE

 

J’arrivai sur la capitale en début de soirée. Il avait un  dîner et ne pouvait se libérer avant un heure et demi du matin.  En partant de chez moi je ne savais pas encore comment j’allais passer mon début de soirée, je m’habillais sobrement . J’étais tout de même raisonnablement appétissante. Je passai un coup de téléphone à des amis afin de ne pas errer dans les rues parisiennes l’âme en peine !Je passai donc cette soirée en compagnie d’amis que je n’avais pas vu depuis quelques temps. Puis vers 2h00 du matin, après avoir loupé le dernier métro je pris un taxi en direction de son arrondissement, il me déposa devant son immeuble.

Je pianotai le code, et poussai cette immense porte de bois. Mon cœur se mis à battre fort. Je ne l’avais pas vu depuis trois semaines, j’étais aux anges de me retrouver là. Cette cour m’était à présent familière ,je m’en imprégnai à nouveau .Je me sentais bien. J’avais un peu picolé chez mes amis, mais les effets semblèrent avoir disparu à l’approche de sa porte. Peut-être fut-ce la douche pluvieuse que j’avais ramassé le temps de rejoindre vainement la station de métro.
Je frappai à sa porte. J’entendis le bruit de ses pas dévalant l’escalier, puis le bruit du verrou.

Il m’ouvrit. Mon visage dû s’éclairer lorsque j’aperçu le siens. Nous échangeâmes alors un langoureux baiser. Je posai mes affaires dans l’entrée, me défis de mon blouson mouillé et de mon pull :
« C’est le haut que tu portais l’autre jour ?
-oui. »
En effet je portais en dessous du pull un petit débardeur blanc et tacheté de noir, garni d’une jolie dentelle noire qui orne le décolleté. Il l’avait vu en cam quelques jours plutôt. Il nous fit chauffer une tisane, que nous bûmes en échangeant nos soirée respectives. Par moment il saisissait ma main, l’embrassant, caressant mon visage. Il était tard et nous étions tout deux fatigués :
« Je suis désolé mais je crois que je vais aller me coucher.
-Je vais me démaquiller et je vous rejoins. »
Il mis alors des serviettes à ma disposition, puis grimpa se mettre au lit.
 
Nous ne pûmes résister à notre envie l’un de l’autre. Il constata avec quel soin j’avais encore épilée ma petite chatte, se mettant alors à la dévorer. C’est un de ses plaisirs, ce qui, je l’avoue n’est pas pour me déplaire, c’est comme prendre l’expresse direction septième ciel !Il vint m’embrasser, sa bouche remplit de mon propre parfum, laissant son gland caresser ma vulve.   Il attrapa un préservatif :
« Je n’avais pas prévu de bander, mais voilà ! »
Il le posa bien évidemment sur le bout de sa queue, je sus ce qu’il me resta à faire, j’avais déjà eu un peu le temps de peaufiner ma technique grâce à mon gode. Il fut très content de constater quelle bonne élève j’étais et comme j’avais bien travaillé cette leçon.
« Tu es vraiment une bonne pipeuse. »
Puis il se bascula à nouveau sur moi, écartant mes cuisses avec vigueur, je relevai les jambes. Il me pénétra. Il donnait ses à-coups, tantôt tenant mes jambes en l’air, tantôt tout le poids de son corps sur moi, tenant mes bras, les mordillant. Parfois j’accentuais ses mouvement bougeant le bassin, parfois je ne pouvais que me cambrer laissant son étreinte m’emporter.
 
Il me proposa quelque chose à boire. Il avait acheter du coca, je fus encore une fois flattée par cette attention. Il n’en boit pas, d’ailleurs il boit du thé, du vin, de l’eau ainsi qu’une sorte de boisson maison concoctée à base d’une espèce de levure vivante, quelque chose de sain .Nous nous endormîmes  dans les bras l’un de l’autre.

Nous nous réveillâmes le lendemain midi et restâmes paresser un moment, un de ces instants tendres et complices que nous aimons tant partager. Je savais que l’heure de ma douche, mon baptême s’approchait à grand pas.

Nous déjeunâmes, d’ailleurs il me conseilla, comme  souvent, de bien manger, j’aurais besoin d’un maximum de force pour la suite des évènements.

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Lundi 18 juin 1 18 /06 /Juin 00:11

 

VIII

DERNIERES RECOMMANDATIONS

 

A un jour de mon départ il décida de me montrer une petit photo du plug qui attendait mon arrivé. Je fis un peu circonspecte sur le moment, dans l’absolu ce n’était pas un gros objet, mais à la pensée de l’endroit où il devait prendre place j’étais tout de suite bien plus impressionnée. Il me rassura me disant que nous prendrons le temps qu’il faudra.

Nous passions à un autre détail techniques, ma tenue d’écolière. J’avais du faire quelques emplettes afin de perfectionner ma tenue, entre autre des chaussettes blanches, des mules plates et noires et une petite culotte en coton. Ce détail attira son attention et je devais dès à présent porter cette petite culotte et ce jusqu’au dimanche matin.

Nous abordâmes aussi le fait que d’ici deux jours je me retrouverai agenouillée dans sa baignoire toute prête en bonne soumise à me faire rincer la gueule . Cette idée m’excitait et me terrifiait à la fois. Il sembla bien plus confiant que moi, mais me rassura sur le fait que de toute manière j’avais à tout moment le choix de me débiner, que de toute manière il était comblé avec moi. Sur ces dernière recommandations il m’ordonna de débrancher :

« Coupe la première je ne peux pas.

-Ok, je vous embrasse, bye.

-Bye »

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  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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