D'une main de Maître il a su me guider sur ces chemins tortueux. Cette aventure qui est la notre, me liera à lui à jamais. Même si on ne me possède jamais vraiment il aura su m'approcher d'assez prêt pour accrocher sa laisse à mon collier et attacher de ses liens invisible mon âme à la sienne.
Très cher Maître bienaimé je vous suis dévouée et soumise, je me suis livrée à vous toute entière et ne regrette rien.
II
HORS JEU
Après m'être lavé la figure et les parties intimes je m’habillai.
Il me proposa d’aller au Palais de Tokyo voir ce qu’il y avait comme exposition, cela m’enchantai évidemment, nous allions pouvoir enfin partager une autre de nos passion commune l’art plastique.
Comme dans la foulée nous allions dîner au restaurant je décida de ne pas remettre de rouge à mes lèvres, j’optais pour un maquillage plus « tout terrain ». Dans le métro il demanda si j'avais remis une culotte, ce que j'avais fait .Il me fis part de sa petite déception :
« Dommage j'aurais du te dire de ne pas en mettre. »
Nous arrivions sur les lieux, et par chance il avait besoin d’aller au toilettes . Je lui répondis que moi aussi, mais je n’avait pas vraiment envie de faire pipi, j’avais surtout envie de rattraper une petite erreur, je voulais lui faire plaisir, j’enlevai alors mon string que je pliais et rangeait dans mon sac.. Je perdis quelques minutes, j'avais du mal à refixer mon porte-jarretelles. Il m’attendait assis dans un fauteuil orange, il se leva et me rejoint :
"excusez moi j'ai mis du temps mais j'ai eu un problème…euh… d'ordre technique.
-ah oui? s'étonna-t-il
-oui j'ai voulu vous faire plaisir et j'ai retiré mon string mais j'ai eu quelques difficulté à remettre mes porte-jarretelles."
Il était ravi! Cette pensée pouvait ainsi l’accompagner
durant notre visite. Nous sommes resté un moment à feuilleter des livres d’arts dans la librairie du Palais, partageant nos impressions sur tel ou tel artiste. C’était un moment vraiment
privilégié, je ne sais pas, nous étions absolument complices, j’apprenais à le connaître d’une autre manière. Il ne restait du jeu que le vouvoiement et mon absence de petite
culotte ! Il m’invitait ensuite dîner dans un restaurant près de chez lui. Un nouveau trajet de métro nous attendait. Moi à force de rester debout avec mes talons
hauts j’avais les pieds qui commençaient à fumer. Nous nous amusions de la situation, il me dit qu’à ma prochaine visite il m’ordonnerait d’apporter des baskets. Mais l’idée de ma petite chatte
en plein courant d’air n’avait pas quitter son esprit pour autant et il partagea son envie de le constater par lui même. Mais difficile de trouver un coin tranquille,
il aurait bien soulevé ma jupe. Nous fûmes alors dans un petit escalator relativement isolées, il glissa sa main sous ma jupe
caressant généreusement ma fente. Vous n’imaginez pas l’intensité de cette sensation qui traversa mon corps de part et d’autre ,il aurait pu à ce moment précis m’emmener dans un coin tranquille
et me baiser sur le champs !Il se colla à moi ,me faisant sentir l'effet que cela lui faisait...il me semble que cela lui alla droit au fond du slip, comme il aime à le dire. Il était loin
d'en avoir fini avec moi.
Nous sommes aller dîner au restaurant, avec le porto que je pris en apéritif puis les deux verres de vins rouges je ne me sentais pas
vraiment saoule mais un peu grisée, j’étais plus à l’aise. C’est je pense la première fois que je fut totalement naturelle avec lui. Je ne sais plus très bien ce que j’ai pu débiter comme
âneries ,mais je crois que de toute manière il s’en amusa. Une fois le repas terminé nous allâmes dans un petit troquet sympas à
Mesnil Montant. C’était un bar très rock n roll ,doté d’ailleurs d’un karaoké rock n roll, ainsi que d’une clientèle rock n roll. Une fois nos verres finis nous primes un taxi qui nous déposa
devant chez lui. Il commença déjà, à peine franchie l’énorme porte en bois de la cour, à passer sa main sous ma jupe, j’avais l’impression
que j’allais fondre sous la chaleur de cette caresse.
Lorsque nous eûmes réintégré son appartement je du me mettre au boulot :
"Enlève ta chemise et ta jupe!"
Il mis le tabouret de bar devant lui, enlevant la table basse, il le colla à son fauteuil et posa le gode dessus :
« Prépare le ! Je lui mis une capote .Met du gel et branle le, montre moi comment tu t’y prends. Aller dépêche connasse ! Je m'appliquais donc à bien enduire ce gode. Sur ta chatte maintenant!"
Je me retrouvais assez vite très excitée, assise sur le tabouret, m'enfonçant le gode. Je le posai à plat m'empalant dessus, montant descendant, tantôt en profondeur, tantôt de manière très rapide , tournant mon bassin, accélérant le mouvement, il n'en perdais pas une miette! Il prit pris quelques photos, puis se masturba. Ne se privant pas de me dire à quel point j'étais bandante. Je prenais un pied fou, le voir apprécier le spectacle multipliait mon plaisir. Je continuais ainsi jusqu’à ce qu’orgasme s’en suive, j’étais encore haletante et transpirante quand il me regarda le sourire au bord des lèvres :
"tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant? Je hochais la tête, aller au boulot!"
Je le suçais avec application et dévouement , c’est un véritable plaisir pour moi de sentir une queue enfler et durcir de plus en plus dans la chaleur de ma bouche :
« Quelle bonne pipeuse tu es ! »
Il ne lui fallut pas très longtemps avant d'inonder ma bouche de son sperme bien chaud. Quel bonheur au moment ou la première giclée assez puissante vient envahir de son goût si particulier les papilles gustatives.
"Hum t'as tout avalé on dirait!"
Nous nous couchâmes , il était déjà tard et nous avions encore un programme chargé qui nous attendait . Il m'embrassa tendrement et éteignit la lumière. Moi pourtant grande insomniaque je m'écroulais plongeant vite dans un profond sommeil.
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