D'une main de Maître il a su me guider sur ces chemins tortueux. Cette aventure qui est la notre, me liera à lui à jamais. Même si on ne me possède jamais vraiment il aura su m'approcher d'assez prêt pour accrocher sa laisse à mon collier et attacher de ses liens invisible mon âme à la sienne.
Très cher Maître bienaimé je vous suis dévouée et soumise, je me suis livrée à vous toute entière et ne regrette rien.
CHAPITRE IV
Faut s’lever de bon matin pour voir un ingénu qui n’t’es pas connu…
I
ARRIVEE
J’arrivai sur la capitale en début de soirée. Il avait un dîner et ne pouvait se libérer avant un heure et demi du matin. En partant de chez moi je ne savais pas encore comment j’allais passer mon début de soirée, je m’habillais sobrement . J’étais tout de même raisonnablement appétissante. Je passai un coup de téléphone à des amis afin de ne pas errer dans les rues parisiennes l’âme en peine !Je passai donc cette soirée en compagnie d’amis que je n’avais pas vu depuis quelques temps. Puis vers 2h00 du matin, après avoir loupé le dernier métro je pris un taxi en direction de son arrondissement, il me déposa devant son immeuble.
Je pianotai le code, et poussai cette immense porte de bois. Mon cœur se mis à battre fort. Je ne l’avais pas vu depuis trois semaines,
j’étais aux anges de me retrouver là. Cette cour m’était à présent familière ,je m’en imprégnai à nouveau .Je me sentais bien. J’avais un peu picolé chez mes amis, mais les effets semblèrent
avoir disparu à l’approche de sa porte. Peut-être fut-ce la douche pluvieuse que j’avais ramassé le temps de rejoindre vainement la station de métro.
Je frappai à sa porte. J’entendis le bruit de ses pas dévalant l’escalier, puis le bruit du verrou.
Il m’ouvrit. Mon visage dû s’éclairer lorsque j’aperçu le siens. Nous échangeâmes alors un langoureux baiser. Je posai mes affaires dans
l’entrée, me défis de mon blouson mouillé et de mon pull :
« C’est le haut que tu portais l’autre jour ?
-oui. »
En effet je portais en dessous du pull un petit débardeur blanc et tacheté de noir, garni d’une jolie dentelle noire qui orne le décolleté. Il l’avait vu en cam quelques jours plutôt. Il nous fit
chauffer une tisane, que nous bûmes en échangeant nos soirée respectives. Par moment il saisissait ma main, l’embrassant, caressant mon visage. Il était tard et nous étions tout deux fatigués
:
« Je suis désolé mais je crois que je vais aller me coucher.
-Je vais me démaquiller et je vous rejoins. »
Il mis alors des serviettes à ma disposition, puis grimpa se mettre au lit.
Nous ne pûmes résister à notre envie l’un de l’autre. Il constata avec quel soin j’avais encore épilée ma petite chatte, se mettant alors à la dévorer. C’est un de ses plaisirs, ce qui, je
l’avoue n’est pas pour me déplaire, c’est comme prendre l’expresse direction septième ciel !Il vint m’embrasser, sa bouche remplit de mon propre parfum, laissant son gland caresser ma
vulve. Il attrapa un préservatif :
« Je n’avais pas prévu de bander, mais voilà ! »
Il le posa bien évidemment sur le bout de sa queue, je sus ce qu’il me resta à faire, j’avais déjà eu un peu le temps de peaufiner ma technique grâce à mon gode. Il fut très content de constater
quelle bonne élève j’étais et comme j’avais bien travaillé cette leçon.
« Tu es vraiment une bonne pipeuse. »
Puis il se bascula à nouveau sur moi, écartant mes cuisses avec vigueur, je relevai les jambes. Il me pénétra. Il donnait ses à-coups, tantôt tenant mes jambes en l’air, tantôt tout le poids de
son corps sur moi, tenant mes bras, les mordillant. Parfois j’accentuais ses mouvement bougeant le bassin, parfois je ne pouvais que me cambrer laissant son étreinte m’emporter.
Il me proposa quelque chose à boire. Il avait acheter du coca, je fus encore une fois flattée par cette attention. Il n’en boit pas, d’ailleurs il boit du thé, du vin, de l’eau ainsi qu’une sorte
de boisson maison concoctée à base d’une espèce de levure vivante, quelque chose de sain .Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.
Nous nous réveillâmes le lendemain midi et restâmes paresser un moment, un de ces instants tendres et complices que nous aimons tant partager. Je savais que l’heure de ma douche, mon baptême s’approchait à grand pas.
Nous déjeunâmes, d’ailleurs il me conseilla, comme souvent, de bien manger, j’aurais besoin d’un maximum de force pour la suite des évènements.
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