D'une main de Maître il a su me guider sur ces chemins tortueux. Cette aventure qui est la notre, me liera à lui à jamais. Même si on ne me possède jamais vraiment il aura su m'approcher d'assez prêt pour accrocher sa laisse à mon collier et attacher de ses liens invisible mon âme à la sienne.
Très cher Maître bienaimé je vous suis dévouée et soumise, je me suis livrée à vous toute entière et ne regrette rien.
II
LA RENTREE
« Aller c’est l’heure de la rentrée ! »
Il alla prendre une douche pendant que moi je m’habillai en bonne élève. Deux couettes, ma chemise blanche et ma cravate, une jupe plissée, des chaussettes hautes et blanches ainsi qu’une paire
de mule en cuir noir. Manifestement il sembla que je fis tout à fait convaincante. Il fut alors l’heure en bonne élève consciencieuse d’offrir mes petits présents. Il s’agissait de ce petit
carnet que j’avais bricolé moi même durant une nuit entière, ainsi que quelques produits du terroir. Il fut très touché de mes petites attentions, j’en étais ravie. Sur le moment il me dit qu’il
lui serait plus difficile de me punir maintenant, mais je lui faisais confiance en ce domaine cet élan d’indulgence n’allait pas durer bien longtemps.
Il m’installa à une table, à califourchon sur une chaise ,dossier face à moi.
« Tu écris ton nom en haut à gauche et la date à droite. »
Je m’exécutai. Il alla chercher le texte de la dictée. Il s’installa sur le tabouret de bar. Il n’était pas vêtu d’une blouse comme un instituteur d’antan aurait pu l’être, mais je le trouvais
encore une fois très séduisant. Il portait un jean, une chemise bleue mauve aux rayures très fines et élégantes et portait ses lunette, cela lui donnait un air d’autant plus sérieux, je le
trouvais particulièrement attirant. Il voulut commencer à détendre mon anus, j’introduisis alors mon plug. Il commença à dicter :
« Dans le Coran, l’enfer musulman réserve au sodomite la première place.
Toutes les religions condamnent la sodomie. Y compris le bouddhisme malgré sa réputation de grande largesse d’esprit. Aux Etats-Unis, il a fallu attendre 2003 pour que la Cour suprême abolisse
les lois qui la pénalisaient encore dans certains états.
Il ne m’aura, quant à moi, pas fallu attendre aussi longtemps pour m’affranchir de la peur de brûler en enfer.
J’avais pris pour habitude, dans la fraîcheur de mon âge, de m’ouvrir fastueusement la rondelle avec toutes sortes d’objets lisses et oblongs. A l’âge de vingt-cinq ans, j’étais devenue ce qu’il
convient d’appeler une vraie salope, un sac à bites, comme se plaisait à me le rappeler l’un de mes mignons.
Il ne se passait une semaine sans que j’eusse fait écumer le manche à couilles de bon nombre de mes soupirants. M’y prenant tantôt à pleine gorge, tantôt dans la chaleur de mon trou du cul, il
m’était toujours exquis de faire dégorger les turgescences de ces pines à grosses éclaboussures, fruits de mon application.
Il me faut reconnaître ne pas apprécier meilleur hydromel qu’une bonne becquée de sperme épais avalée d’un trait, sitôt giclée d’une tige encore chaude et écumante.
Cependant, mes frivolités me laissaient immanquablement équarrie, la rondelle béante d’où s’épanchait la semence de l’un ou de plusieurs de mes courtisans. Cette bonne jute que j’eusse tant aimé
boire jusqu’à la lie, je me retrouvais piteusement condamnée à ne la sentir couler que le long de mes cuisses, fuyant de mon trou de balle épanoui tant j’aimais par-dessus tout, me ramasser une
bonne enculade. »
A chaque fois que j’avais tendance à m’affaler sur mon cahier je recevais comme il se doit un bon coup, donné avec le plat d’une règle en fer :
« Tiens toi droite ! Non mais je rêve, c’est quoi cette position ? »
Le premier coup qui vint s’abattre ainsi sur mon derrière me fit sursauter. Il attrapa ma main gauche et vint la poser sur son entrejambe, je sentis à travers le tissus du jean la bosse formée
par son sexe, c’était terriblement excitant, je sentis l’humidité se répandre dans ma culotte de coton blanc. Il dictait très vite et je perdais souvent le fil. Je n’étais pas vraiment concentrée
sur l’orthographe, je ne pouvais m’empêcher de savourer ce texte. Puis je pensais que j’aurais l’occasion de me relire. J’avais sous-estimé la sévérité de mon Précepteur :
« Tu n’es plus en maternelle, tu n’as pas besoin de te relire. »
Je savais que ma dictée était truffée se fautes. Dix-huit en tout. Dix-huit coups de règles vinrent alors se claquer sur mes fesses, à chaque nouvelle fessée mon derrière se faisait plus
douloureux. Il attendit quelques secondes :
« Je ne t’ai pas entendu me remercier après ta punition, tu ne connaissais pas cette règle je ne peux pas t’en vouloir, mais il va bien falloir que tu apprennes. »
Il m’asséna dix-huit nouveaux coups.
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Vraiment superbe ! Et propice à de belles fautes d'orthographe !
Me permettez-vous d'en conserver une copie ?
Qui sait si je n'en aurai l'usage, un jour où l'autre...