Toute entière

Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 22:54

VII

LA GRIPPE

 

Le jour se leva sur la capitale, et moi aussi. Nous avions mis le réveil de bonne heure car nous attendions avec impatience la venue d’Anna. Il descendit préparer le petit déjeuné, qu’il remonta quelques minutes plus tard, me conseillant, non sans son petit air paternaliste que j’aime tant, de bien manger car j’en aurais bien besoin aux vues du programme qui attendait ma consœur et moi-même.

-Crois tu qu’elle va venir ? M’interrogea-t-il.

-Je pense oui, sa curiosité la poussera à venir je pense.

-Tu as certainement raison. »

Une fois le petit déjeuné pris, lavés, habillés, il me proposa d’envoyer un petit mail à Anna, qui ne devait pas être encore partie de chez elle. Ce que nous fîmes dans la foulée, lui faisant part de notre impatience à la voir.

Quelques minutes plus tard le téléphone sonna, il décrocha. C’était elle, et au ton de la conversation je compris que quelque chose n’allait pas. Il lui dît de ne pas être désolée, que ce n’était rien. Il me la passa ensuite. Anna avait la grippe, elle avait de la fièvre et ne pouvait pas venir. Puis elle avait appris quelques mauvaise nouvelles qui l’avaient, j’imagine  affaiblie. J’étais déçue, certes, mais par dessus tout, j’étais triste pour elle, car elle semblait vraiment abattue. Je tentais de la rassurer comme je pu, puis nous raccrochâmes. J’étais dépitée de ne pas pouvoir la rencontrer, pouvoir concrétiser cette complicité entre nous. Dommage. Nous restâmes quelques temps à parler d’elle autour de la table de la cuisine, il consola ma petite mine, car l’état d’Anna m’avait tout de même affectée. Je suis comme une éponge, et la tristesse des gens qui m’entourent m’affecte . Mais il su, avec ses mots, refaire renaître sur mes lèvres un sourire.

Quand j’y repense aujourd’hui, ce n’était que la deuxième fois que nous nous rencontrions, et pourtant déjà il semblait avoir cette facilité à m’apaiser, avec de simple mots, comme un magicien ferait disparaître une personne au simple moyen d’un grand drap. Oui, dès lors il y avait quelque chose de magique entre nous, un lien tenu qui ne faisait que se serrer un peu plus à chaque conversation.

 

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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 22:52

VI

DINER ET DETENTE

 

Une fois remise de mes émotions l’heure de se mettre autre chose que du sexe sous la dent fut venue. Il s’habilla et rejoignit la cuisine, tandis que moi je prenais tout mon temps afin de me faire belle. Je passai alors ma jupe en cuir. Une jupe que j’avais retrouvé dans le grenier de mes parents, une robe des années quatre-vingt, un peu longue, mais très moulante que j’aime beaucoup. J’enfilais un dos nu, des porte-jarretelles, des bas résilles, mes bottes et une touche de maquillage. Je descendis ainsi les escaliers, la démarche chaloupée d’une star qui arrive sur la scène.  Je me voulais féline, désirable, aguichante. Ce fut je crois plutôt réussi, un large sourire vint éclairer son visage saluant mon effort pour me montrer à lui sous un jour plutôt attrayant. Il épluchait quelques légumes face à l’évier. Je vins alors me coller derrière lui, tendrement, lui embrassant le cou, il se retourna quelques instant afin de me rendre ses tendresses et retourna à sa tache, me proposant de boire quelque chose. Je servis alors deux verres de vin, et lui mis quelques olives à disposition. Nous trinquions, yeux dans les yeux.

Je l’aidai à mettre le couvert, puis nous passâmes à table. Comme à son habitude il me servit une assiette en démesure avec mon appétit de moineau, mais les émotions du jour m’avaient ouvert l’appétit et ce plat à la tomate et aux pois-chiches fut englouti sans trop de difficulté. Nous discutâmes tout en dinant, échangeâmes nos diverses impressions sur les événement de la journée ainsi que celle qui était à venir. Je m’impatientais de la venue d’Anna. Il me demanda également ce que j’avais bien pu ressentir dans cette baignoire, je fus d’ailleurs à ce moment bien incapable de répondre, tout était bien trop confus, trop frais pour pouvoir encore placer des mots sur les émotions fortes qui s’étaient emparées de moi.

Après le repas ma tenue sembla lui inspirer une petite série de photo, il était alors mon photographe et j’étais sa petite muse, son modèle. Encore une fois, mais d’une manière autre,  j’étais son pantin, celle qu’il dirigeait au simple son de sa voix. D’abord habillée de ma jupe, puis sans elle. J’aimai qu’il me photographie, j’évoluai alors devant l’objectif oubliant tous mes complexes. Cette sensation grisante d’être regardée, d’être désirée, d’être un peu plus que mignonne.

Dans une dernière étreinte nous nous endormîmes, un sommeil réparateur venant s’emparer de moi, serrée à lui, comme si je ne voulais plus quitter l’emprunte de son corps.

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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 20:34

V

LES FOURMIS

 

Une fois cette tasse de thé terminé il m’invita à poser mes mains sur le tabouret de bar, dos cambré, cul tendu à l’attention de sa bite. Je sentis alors la chaleur de sa paume se poser sur mes reins, descendre un peu et se saisir de ma hanche. Il se mis alors à pénétrer mon petit trou chaud, doucement pour commencer, puis de plus en plus fort. Mes cris se firent aussi plus forts, le tabouret avançait, et moi je m’y agrippais. Lui profitait de ce corps qui était devenu sien, ce corps ne vibrant que pour lui sous les à-coups de son membre. Le jeu prenais de plus en plus son sens, un jeu dont le seul prix est le plaisir, son plaisir et par conséquent mon plaisir. Jamais auparavant je ne m’étais abandonnée ainsi à la faveur d’un homme, mais il n’était pas un homme ordinaire il était mon Maître, mon guide sur cette pente libidineuse et lubrique, mon Maître, mon unique et seul Maître.

Il se retira, et me donnant une petite tape sur les fesses m’ordonnant de rejoindre l’étage. Je m’exécutai sagement. Je me tenais devant le lit lorsqu’il me poussa d’un coup d’épaule, je m’affalais  et déjà je sentis mouiller mon entrecuisses. En effet ces petits gestes affolent  le baromètre de mes ardeurs :

« Sur le dos, chevilles tenues ! »

Il s’allongea sur moi, s’emparant de mon être que je lui cédai volontiers afin qu’il en fasse ce que bon lui semblerait. Il se mit alors à me baiser, je me cambrais malgré l’entrave de son corps, gémissante, brûlante. Il se dressa, se retirant :

« Hum je vais me plugger ce p’tit cul ! »

Mais se ravisa se rappelant ce qu’il venait de prendre, qu’il fallait laisser ma petite rondelle reprendre un peu de souffle ! Il renfourna sa bite, directement en profondeur, vivement, de suite, m’arrachant un petit cris au passage, m’emportant dans son étreinte douce et puissante, m’emportant dans cette délicieuse spirale de plaisir. Puis brusquement bascula :

« Viens sur moi ! »

Je m’empalai alors sur son sexe. Il attrapa mes épaules et m’attira vers lui me susurrant :

« Donne moi ta langue ! »

Il m’embarqua alors dans un de ces longs baisers langoureux et goulu, s’activant en coup de butoir, vigoureusement, ses couilles claquant sur mon clitoris. De plus en plus vite, baisant ma nuque, de plus en plus fort, léchant mon oreille. Moi je m’abandonnai totalement à lui, en bonne chienne docile, me laissant complètement faire, n’étant plus que sensation, n’étant plus que soupirs, gémissements, cris jusqu’à en exploser d’orgasme.  

Il me repoussa doucement, ôtant la capote. Il n’eu pas besoin de me demander que je fus déjà sa pine en bouche, en train de le pomper, salivant du mieux que je pus, lui léchant les couilles. Il s’exclama :

« Tu vas me bouffer le cul tiens ! »

 Je m’exécutai alors, léchant son anus, glissant ma langue à l’entrée, sur le rebord sensible, donnant encore une fois le meilleur de moi même, toujours prête à tout afin de le satisfaire. Il me fit alors comprendre de me remettre à m’occuper de sa bite, ce que je fis sans mot dire bien évidemment, l’engloutissant toute entière. Il posa sa main sur le haut de mon crâne,  appuya, me maintenant ainsi. Je tentai bien de remonter pour reprendre mon souffle, mais il ne me laissa pas ce répit et me fit répéter, à moitié suffocante une de ces phrases dont il a le secret. Le son de ma voix étant noyé par ma salive, je dus alors recommencer jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Il relâcha quelque temps la pression avant de m’y remettre, toujours à la limite de l’étouffement, mes yeux perlant de larmes, sa queue comblant le fond de ma gorge, la déformant certainement, me faisant à nouveau répéter :

« Comment ? J’ai pas bien compris ? 

-Je suis une grosse salope qui s’applique  a bien vider les couilles de son Maître !

-C’est donc ça ! »

Quelques instant plus tard, juste avant de répandre son foutre dans le fond de ma gorge, il s’exclama :

« Mon dieu ! Qu’elle bonne pipeuse tu fais ! Non, pas bonne pipeuse, en fait tu es la meilleure pipeuse qui m’ai jamais pomper ! Aller morue  continue, je ne vais pas tarder à gicler ! »

Il se releva, me plaquant sur le lit, faisant claquer sa pine dans le creux de sa main, au dessus de mon visage. Je pus alors sentir son corps se crisper, avant que ne vienne se rependre sur ma gueule sa jute chaude et visqueuse, se collant à ma peau d’une agréable manière, embaumant de se parfum unique. Il constata quelques instants le spectacle de ma petite face inondée de sperme, puis ramena tout d’un doigt vers ma bouche, et moi l’aidant, rattrapant ce qui aurait pu se perdre sur la couette, c’est que j’ai horreur du gaspillage !Il m’essuya ensuite au moyen d’un mouchoir, je me collai à lui, mon bras entourant son torse, sa main caressant mes cheveux, mon visage, me regardant fixement.

Je commença alors à l’embrasser, à nouveau, tendrement, amoureusement. Il glissa sa main dans mon entrejambe :

« Mais t’es encore trempée ! Quelle salope ! »

Il se entrepris alors de glisser ses doigts plus en profondeur, puis me les fis lécher . Il descendit vers ma vulve, et joua de sa langue sur mon clito, appuyant, tournant, montant, descendant…je commençai à vibrer à nouveau, comme hypnotiser par ses gestes, sous l’emprise de mon propre plaisir, dont il jouait de main de Maître. Et petit à petit je sentis en moi venir le grisant orgasme. Il était à ce moment précis le Magicien détenteur de mes vibrations, la clef de mon émoi le plus sensuel.

Ma petite fleur se fût de plus en plus sensible, et à chacun de ses coups de langues de grands frissons parcourant l’intégralité de mon être, plus fort à chaque instant. Il semblait être à l’écoute de chacun de mes frémissements, de mes cris, et m’emmena à l’extase. Ce ne fut un orgasme, mais une symphonie interprétée en plusieurs actes et crescendo. Je me retrouvai terrassée, allongée sur le dos. J’en eu des fourmis dans les mains, le souffle haletant et le cœur battant. Je crois que certain appellent ça le subspace. Il me fallu quelques minutes avant de me remettre, de pouvoir bouger, m’asseoir, me lever. Il venait de m’entrouvrir les portes du nirvana, jamais alors personne ne m’avait donné autant de plaisir, de toutes les drogues que j’ai pu consommer celle là était certainement la plus forte.

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Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 23:43

IV

LE BAPTEME

 

A genou dans la largeur de la baignoire afin d’être face à lui, j’avoue que je ne faisais pas la maline. Je me dis « je n’ouvrirai pas la bouche , j’en serais bien incapable »!Il  faisait froid dans la salle de bain, j’étais nue et le contacte de la faïence sur mes jambes accentua mes frissons. Je baissai les yeux, jetant quelques regards furtif en direction de sa queue. Le jet d’urine  m’éclaboussa, j’avais froid et cette tiédeur me réchauffa de suite, ce fut une sensation très agréable. Instinctivement sans me rendre compte j’ouvris la bouche cherchant moi même à la remplir. Je prenais goût à ce jeu interdit, j’étais inondée de pisse et cela me ravissait. Mon œsophage restait fermé et je laissais le liquide couler le long de mes joues :
« Tu peux mettre ta tête en arrière que je vois bien ce que t’as dans la bouche ?Je m’exécutai, comme toujours.
- Tu peux avaler ? »
Et comme toujours et encore, sans même rechigner, je m’exécutai.  
« C’est pas bon hein ? »Me nargua-t-il, je le regardai subrepticement lui souriant.
Ma bouche étais déjà remplit de ce parfum si particulier, âpre et salé, un parfum de bouillon de poule aux vermicelles très concentré. J’en étais totalement recouverte, mes jolies couettes dégoulinantes, alors quand il me demanda d’avaler ce ne fut pas très difficile. Son jet dru et chaud vint rincer mon oreille. Je gardais les yeux fermés, et par moment quand il s’arrêtait je les entrouvrais, puis par surprise il recommençait, me faisant sursauter. Je ne saurais dire pourquoi, au delà de la soumission, quel plaisir j’ en tirai, mais alors que j’avais eu peur de ne pas y arriver j’y prenais goût. Une nouvelle fois il m’ordonna d’avaler, ce que fis sans une expression particulière, comme lorsque l’on avale un médicament à la saveur suspecte. J’étais assise au travers de la baignoire, comme une conne en train de se faire pisser dessus, et en bonne soumise que je suis cette situation m’enchantait.

Qui étais-je ? Ceux qui connaissaient la jeune femme provocatrice et au caractère bien trempé auraient-ils plus le croire ?Il n’y avait que lui que cela n’étonna pas, lui qui semble comprendre mieux que moi cette part de ma personnalité. Il m’avait dit avant qu’il pensait que j’ouvrirais la bouche moi même et que j’ avalerais et y prendre du plaisir. Je lui avais répondu que j’en doutais, enfin en tout cas je ne serais pas terriblement enthousiaste. Il est sur que je ne fus pas morte de rire dans la baignoire mais cet espèce de silence  ambiant rendit les choses très sensuelles. Il finit de se soulager sur sa chienne docile, sa soumise bien dévouée. J’étais trempée, et bien qu’il avait bu beaucoup d’eau et que son urine était très diluée l’odeur imprégnait mes cheveux. Je ne sais pas bien quelle sensation lui put exactement ressentir, j’en fus tout de même curieuse. Néanmoins je pus lire sur son visage cette expression de satisfaction. Je ne connais sentiment plus agréable que la reconnaissance de son Maître, quand il vient vous gratifier  d’une bonne caresse, ou d’un simple regard signifiant « C’est bien, c’est bien ma petite chienne » .
 
Il me donna alors sa queue à téter que j’avalai toute entière,  ses couilles écrasées à ma figure. Je la sentis gonflée dans ma bouche, sa main posé sur ma tête, me la maintenant parfois plaquée. Mais il s’arrêta là, il me réservait encore quelques surprises, la journée n’était pas encore terminée. Il quitta la salle de bain me disant de prendre ma douche.
 
J’eu tout le loisir de réfléchir à tous ça mais impossible à ce moment là de fixer mon esprit à quoi que ce soit. Quand je défis mes couettes l’odeur se fit plus forte, me rappelant celle qui embaumait mon palais. Je fus extrêmement troublée, j’avais avalé sans même rechigner, et pas une petite dose, je n’en revins pas. Il l’avait su avant moi, il avait perçu ça très vite, il semble parfois qu’il lit ma soumission comme un livre ouvert, c’est assez perturbant et sacrément jouissif. D’une certaine manière chacun détient les clefs du plaisir de l’autre, se qui nous permet de vivre un échange intense et harmonieux.

Je fis deux shampoings d’affilé afin de me débarrasser de cette odeur tenace, et frottai mon corps dans les moindre recoins. Je sortis de la baignoire, m’enroulant d’un drap de bain jaune me séchai sommairement les cheveux, puis entrai dans la pièce d’à côté. Il s’approcha de moi, m’embrassant , mon drap de bain glissa mollement à terre. Après cette étreinte je la ramassai et allai l’accrocher dans la salle de bain. Il me montra alors la petite vidéo de ce baptême, qu’il avait tournée au moyen de son appareil photo :
« Je n’en revenais pas, toute seule tu as ouvert la bouche ! »
Ce que je pu constater, moi non plus je n’en revins pas, en effet, très vite j’avais ouvert la bouche, je ne m’en étais pas aperçu ! Mon dieu quelle salope !Il me proposa de boire quelque chose, ce que j’acceptai volontiers, quelque chose de chaud, un thé.  
« Attends je vais te chercher ton tabouret afin que tu puisses t’asseoir »
Il grimpa à l’étage et attrapa le minuscule tabouret de pin sur lequel j’avais du m’asseoir à notre première rencontre. Et comme lors de notre première rencontre je devais écarter les jambes. Je m’assis. Il servis le thé. Mais cette pause ne dura pas éternellement.

 

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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 16:21

 

III

THE BIG BOSS

Le moment fatidique où je dus présenter mon cul à ce nouvel ami fut arrivé. Dans l’absolu ce n’est pas un objet très gros, mais quand je pensai à la bonne place qu’il dut prendre je trouvai sa taille bien plus impressionnante. Il déposa une capote sur le haut de ce plug. De moi même, sans que l’ordre ne m’en soit donné je l’habillai au moyen de ma bouche. Il n’en revint pas de me voir engloutir ce truc faisant claquer le latex sur la résine en un « ploc » très particulier. Je mis la dose de lubrifiant, et j’entrepris de m’asseoir dessus. Je tentai de me servir d’un de mes doigts à la manière d’un chausse pied(enfin un chausse-cul pour le coup !) , tentant de dilater mon anus. Je voulais vraiment y arriver, j’eus tant aimé lire la satisfaction sur son visage. Je tentai et retentai, en vain. J’avançai tout de même un peu, m’approchant petit à petit du but. Il ne fallait pas pour autant que je me blesse, je ne pouvais pas vraiment faire de forcing. Je m’y pris avec douceur. J’étais installée sur le tabouret de bar et lui en spectateur c’était installé sur la chaise, aux premières loges.  Néanmoins la vessie pleine à craqué de mon très cher Maître commença à se rappeler à son bon souvenir. Tout au long de la dictée il n’avait cessé de boire d’innombrables verres d’eau. Voilà, l’heure du baptême avait sonnée, je jetai un coup d’œil rapide à ce plug rétif me disant que je n’avais pas dit mon dernier mot, peu importe que ce match se joue en plusieurs rounds je finirais par en sortir victorieuse !
« Déshabille toi et va t’asseoir dans la baignoire. »  

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Dimanche 24 juin 7 24 /06 /Juin 21:06

II

LA RENTREE

 

« Aller c’est l’heure de la rentrée ! »
Il alla prendre une douche pendant que moi je m’habillai en bonne élève. Deux couettes, ma chemise blanche et ma cravate, une jupe plissée, des chaussettes hautes et blanches ainsi qu’une paire de mule en cuir noir. Manifestement il sembla que je fis tout à fait convaincante. Il fut alors l’heure en bonne élève consciencieuse d’offrir mes petits présents. Il s’agissait de ce petit carnet que j’avais bricolé moi même durant une nuit entière, ainsi que quelques produits du terroir. Il fut très touché de mes petites attentions, j’en étais ravie. Sur le moment il me dit qu’il lui serait plus difficile de me punir maintenant, mais je lui faisais confiance en ce domaine cet élan d’indulgence n’allait pas durer bien longtemps.

Il m’installa à une table, à califourchon sur une chaise ,dossier face à moi.
« Tu écris ton nom en haut à gauche et la date à droite. »
Je m’exécutai. Il alla chercher le texte de la dictée. Il s’installa sur le tabouret de bar. Il n’était pas vêtu d’une blouse comme un instituteur d’antan aurait pu l’être, mais je le trouvais encore une fois très séduisant. Il portait un jean, une chemise bleue mauve aux rayures très fines et élégantes et portait ses lunette, cela lui donnait un air d’autant plus sérieux, je le trouvais particulièrement attirant. Il voulut commencer à détendre mon anus, j’introduisis alors mon plug. Il commença à dicter :
 
«  Dans le Coran, l’enfer musulman réserve au sodomite la première place.
Toutes les religions condamnent la sodomie. Y compris le bouddhisme malgré sa réputation de grande largesse d’esprit. Aux Etats-Unis, il a fallu attendre 2003 pour que la Cour suprême abolisse les lois qui la pénalisaient encore dans certains états.
Il ne m’aura, quant à moi, pas fallu attendre aussi longtemps pour m’affranchir de la peur de brûler en enfer.
J’avais pris pour habitude, dans la fraîcheur de mon âge, de m’ouvrir fastueusement la rondelle avec toutes sortes d’objets lisses et oblongs. A l’âge de vingt-cinq ans, j’étais devenue ce qu’il convient d’appeler une vraie salope, un sac à bites, comme se plaisait à me le rappeler l’un de mes mignons.
Il ne se passait une semaine sans que j’eusse fait écumer le manche à couilles de bon nombre de mes soupirants. M’y prenant tantôt à pleine gorge, tantôt dans la chaleur de mon trou du cul, il m’était toujours exquis de faire dégorger les turgescences de ces pines à grosses éclaboussures, fruits de mon application.
Il me faut reconnaître ne pas apprécier meilleur hydromel qu’une bonne becquée de sperme épais avalée d’un trait, sitôt giclée d’une tige encore chaude et écumante.
Cependant, mes frivolités me laissaient immanquablement équarrie, la rondelle béante d’où s’épanchait la semence de l’un ou de plusieurs de mes courtisans. Cette bonne jute que j’eusse tant aimé boire jusqu’à la lie, je me retrouvais piteusement condamnée à ne la sentir couler que le long de mes cuisses, fuyant de mon trou de balle épanoui tant j’aimais par-dessus tout, me ramasser une bonne enculade. »
 
A chaque fois que j’avais tendance à m’affaler sur mon cahier je recevais comme il se doit un bon coup, donné avec le plat d’une règle en fer :
« Tiens toi droite ! Non mais je rêve, c’est quoi cette position ? »
Le premier coup qui vint s’abattre ainsi sur mon derrière me fit sursauter. Il attrapa ma main gauche et vint la poser sur son entrejambe, je sentis à travers le tissus du jean la bosse formée par son sexe, c’était terriblement excitant, je sentis l’humidité se répandre dans ma culotte de coton blanc. Il dictait très vite et je perdais souvent le fil. Je n’étais pas vraiment concentrée sur l’orthographe, je ne pouvais m’empêcher de savourer ce texte. Puis je pensais que j’aurais l’occasion de me relire. J’avais sous-estimé la sévérité de mon Précepteur :
« Tu n’es plus en maternelle, tu n’as pas besoin de te relire. »
Je savais que ma dictée était truffée se fautes. Dix-huit en tout. Dix-huit coups de règles vinrent alors se claquer sur mes fesses, à chaque nouvelle fessée mon derrière se faisait plus douloureux. Il attendit quelques secondes :
« Je ne t’ai pas entendu me remercier après ta punition, tu ne connaissais pas cette règle je ne peux pas t’en vouloir, mais il va bien falloir que tu apprennes. »
Il m’asséna dix-huit nouveaux coups.

 Il me donna un porte-mine, il fut temps d’en venir à la correction des fautes. Je dus les rectifier moi-même, et si par malheur je vins à commettre une nouvelle erreur j’étais bonne pour une nouvelle claque. Il me laissa ainsi quelques temps, me conseillant de bien relire ma dictée instant sur mes fautes histoire que je ne les réitère pas . Il déposa sur la table près de moi ce qu’il appela « the big boss ». Je me demandai comment j’allais faire rentrer ce truc dans mon cul .Je dus maintenant relire le texte à haute voix, je fus à lecture de chaque faute affligée d’une nouvelle claque. Je ne dus pas changer le flot de ma lecture même quand le double décimètre vint s’abattre sur mon arrière train.
« Merci.
-Je t’en pris. »
 
Moi j’étais trempée, lui devais déjà être bien excité car quand il déboutonna son jean, assis sur son tabouret c’est une queue déjà bien dure qu’il brandit à ma bouche. Je me mis alors au boulot tentant de rattraper cette affreuse note. Bienheureusement j’étais plus douée pour la pratique. Puis il m’arrêta.

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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 16:26

CHAPITRE IV

Faut s’lever de bon matin pour voir un ingénu qui n’t’es pas connu…

 

I

ARRIVEE

 

J’arrivai sur la capitale en début de soirée. Il avait un  dîner et ne pouvait se libérer avant un heure et demi du matin.  En partant de chez moi je ne savais pas encore comment j’allais passer mon début de soirée, je m’habillais sobrement . J’étais tout de même raisonnablement appétissante. Je passai un coup de téléphone à des amis afin de ne pas errer dans les rues parisiennes l’âme en peine !Je passai donc cette soirée en compagnie d’amis que je n’avais pas vu depuis quelques temps. Puis vers 2h00 du matin, après avoir loupé le dernier métro je pris un taxi en direction de son arrondissement, il me déposa devant son immeuble.

Je pianotai le code, et poussai cette immense porte de bois. Mon cœur se mis à battre fort. Je ne l’avais pas vu depuis trois semaines, j’étais aux anges de me retrouver là. Cette cour m’était à présent familière ,je m’en imprégnai à nouveau .Je me sentais bien. J’avais un peu picolé chez mes amis, mais les effets semblèrent avoir disparu à l’approche de sa porte. Peut-être fut-ce la douche pluvieuse que j’avais ramassé le temps de rejoindre vainement la station de métro.
Je frappai à sa porte. J’entendis le bruit de ses pas dévalant l’escalier, puis le bruit du verrou.

Il m’ouvrit. Mon visage dû s’éclairer lorsque j’aperçu le siens. Nous échangeâmes alors un langoureux baiser. Je posai mes affaires dans l’entrée, me défis de mon blouson mouillé et de mon pull :
« C’est le haut que tu portais l’autre jour ?
-oui. »
En effet je portais en dessous du pull un petit débardeur blanc et tacheté de noir, garni d’une jolie dentelle noire qui orne le décolleté. Il l’avait vu en cam quelques jours plutôt. Il nous fit chauffer une tisane, que nous bûmes en échangeant nos soirée respectives. Par moment il saisissait ma main, l’embrassant, caressant mon visage. Il était tard et nous étions tout deux fatigués :
« Je suis désolé mais je crois que je vais aller me coucher.
-Je vais me démaquiller et je vous rejoins. »
Il mis alors des serviettes à ma disposition, puis grimpa se mettre au lit.
 
Nous ne pûmes résister à notre envie l’un de l’autre. Il constata avec quel soin j’avais encore épilée ma petite chatte, se mettant alors à la dévorer. C’est un de ses plaisirs, ce qui, je l’avoue n’est pas pour me déplaire, c’est comme prendre l’expresse direction septième ciel !Il vint m’embrasser, sa bouche remplit de mon propre parfum, laissant son gland caresser ma vulve.   Il attrapa un préservatif :
« Je n’avais pas prévu de bander, mais voilà ! »
Il le posa bien évidemment sur le bout de sa queue, je sus ce qu’il me resta à faire, j’avais déjà eu un peu le temps de peaufiner ma technique grâce à mon gode. Il fut très content de constater quelle bonne élève j’étais et comme j’avais bien travaillé cette leçon.
« Tu es vraiment une bonne pipeuse. »
Puis il se bascula à nouveau sur moi, écartant mes cuisses avec vigueur, je relevai les jambes. Il me pénétra. Il donnait ses à-coups, tantôt tenant mes jambes en l’air, tantôt tout le poids de son corps sur moi, tenant mes bras, les mordillant. Parfois j’accentuais ses mouvement bougeant le bassin, parfois je ne pouvais que me cambrer laissant son étreinte m’emporter.
 
Il me proposa quelque chose à boire. Il avait acheter du coca, je fus encore une fois flattée par cette attention. Il n’en boit pas, d’ailleurs il boit du thé, du vin, de l’eau ainsi qu’une sorte de boisson maison concoctée à base d’une espèce de levure vivante, quelque chose de sain .Nous nous endormîmes  dans les bras l’un de l’autre.

Nous nous réveillâmes le lendemain midi et restâmes paresser un moment, un de ces instants tendres et complices que nous aimons tant partager. Je savais que l’heure de ma douche, mon baptême s’approchait à grand pas.

Nous déjeunâmes, d’ailleurs il me conseilla, comme  souvent, de bien manger, j’aurais besoin d’un maximum de force pour la suite des évènements.

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Lundi 18 juin 1 18 /06 /Juin 00:11

 

VIII

DERNIERES RECOMMANDATIONS

 

A un jour de mon départ il décida de me montrer une petit photo du plug qui attendait mon arrivé. Je fis un peu circonspecte sur le moment, dans l’absolu ce n’était pas un gros objet, mais à la pensée de l’endroit où il devait prendre place j’étais tout de suite bien plus impressionnée. Il me rassura me disant que nous prendrons le temps qu’il faudra.

Nous passions à un autre détail techniques, ma tenue d’écolière. J’avais du faire quelques emplettes afin de perfectionner ma tenue, entre autre des chaussettes blanches, des mules plates et noires et une petite culotte en coton. Ce détail attira son attention et je devais dès à présent porter cette petite culotte et ce jusqu’au dimanche matin.

Nous abordâmes aussi le fait que d’ici deux jours je me retrouverai agenouillée dans sa baignoire toute prête en bonne soumise à me faire rincer la gueule . Cette idée m’excitait et me terrifiait à la fois. Il sembla bien plus confiant que moi, mais me rassura sur le fait que de toute manière j’avais à tout moment le choix de me débiner, que de toute manière il était comblé avec moi. Sur ces dernière recommandations il m’ordonna de débrancher :

« Coupe la première je ne peux pas.

-Ok, je vous embrasse, bye.

-Bye »

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Dimanche 17 juin 7 17 /06 /Juin 01:06

VII

DISCUTION ET PENETRATION

Le lendemain soir alors que je vaquais à mes occupations sur mon pc il vint me saluer :

« Salut, tu es occupée ?

-Bonsoir, non.

-Branche ta cam. Hé je ne m’en lasserais jamais. Tu es joliment  maquillée.

-Merci.

-Passé un bonne journée ?

-Moyenne à vrai dire. J’ai bien avancé niveau boulot, mais niveau sentimental…

-Ca ne se passe pas bien avec ton petit ami ? »

En effet ça se passait plutôt mal. Cela faisait une semaine que je n’avais eu aucune nouvelle, jusqu’à ce jour où j’avais reçu un mail m’expliquant que quelque chose de grave c’était passé et qu’il n’aimait pas la tournure que prenaient les choses. Mais pas plus d’explication, j’étais dans le doute total et je ne connais rien de pire que de se retrouver dans l’expectative. J’étais inquiète. C’était il fait griller par sa femme ? M’en voulait il car étant restée une semaine sans aucune nouvelle je lui avais envoyé un mail un peu désagréable ? Je n’en savais rien et tout le problème était là.

J’étais touchée par cette sollicitude, il semblait se soucier de moi plus que mon petit ami. Lui ne m’avait jamais baratinée, alors que mon petit ami avait dû se trouver au pied du mur avant de m’avouer qu’il était marié, et encore plus tard m’avouer qu’il avait des enfants. Sans aucune promesse de sa part je ne m’attendais à rien, tandis que mon petit ami à coup de  « je vais quitter ma femme, je t’aime… » me décevait immanquablement trouvant toujours une bonne excuse pour retarder l’échéance, une bonne excuse pour ne pas m’apporter plus d’attention. Le pire c’est que je ne lui avais rien demander, je me serais contentée de n’être que sa maîtresse, mais il avait voulu me faire des promesses…

Nous basculâmes vite sur une conversation des plus réjouissantes. Il voulait que je prépare ma rondelle avant ma venue, il m’invita donc à commencer à l’instant, devant lui :

« -D’ailleurs tu vas te farcir tout de suite le cul avec ton plug, pourquoi attendre ? »

Je filais dans la salle de bain, nettoyer ce toy comme à mon habitude et revins à ma place.

« Très bien petite pute, tu es prête à t’en prendre plein le cul ?

-Oui je suis prête à en prendre plein le cul .

-Quel parfaite poufiasse tu fais.

-Je veux que tu me vire cette jupe. Je m’exécutai. Et la culotte aussi ! Rah cette chatte…je vais bientôt me la fourrer dans tous les sens.

-J’en suis impatiente.

-Elle m’hypnotise avec sa chatte ! Ca ne marchera pas !Tourne toi je veux voir ton cul quand tu te fous ton plug. Et écarte bien !Ca rentre tout seul maintenant dis moi. Tu es prête pour son big boss de 6cm, super !Assieds toi dessus maintenant. Voilà, c’est bon n’est ce pas ?

-Oui.

-Je le vois à ta mine réjouie et vicelarde. J’aime voir tes yeux brillés comme ça. »

Ce n’était pas tant le fait d’avoir le cul rempli que d’être à ses ordres qui m’excitait. Cela me faisait immanquablement frissonner, mouiller, m’excitant, me soumettant, prête à tous les efforts pour sa satisfaction. Je remuai mon cul, je me tortillai, une dance directement dédier à sa personne, ce petit  trou qui lui appartenait.

« Vas me chercher ton gode, je n’avais pas prévu ça mais tu m’as trop fait bander ! Et dépêche connasse ! »

Je me dépêchai à l’exécution de cet ordre.

« Tu sais comment l’enfiler, me dit il en parlant de la capote. Oui bonne soumise ça. Bonne pipeuse aussi ! Aller fourre moi ça dans ton petit trou de balle !Bien au fond. Dimanche je veux que tu viennes avec ton gode.

-C’est compris.

-Tourne toi, montre moi cette rondelle bien ouverte. Hum, c’est un appel pour ma bite ça. Rassies toi sur ton plug connasse. Je t’invite à travailler ton cul comme ça tous les soirs jusqu'à ta visite.

-C’est bien compris.

-Je te veux bien ouverte, cul prêt à servir en permanence, au claquement de doigt . C’est bien compris ?

-C’est bien compris. »

Je dus garder le plug jusqu’au moment du coucher. J’en fis de même tous les soirs jusqu’au moment de mon départ.

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Samedi 16 juin 6 16 /06 /Juin 02:21

VI

SON RETOUR

 

Il était rentré et se brancha sur msn. Il m’expliqua qu’il était rentré la veille mais avait été un peu miné par les mail d’Anna, en contrepartie les miens lui avaient fait très plaisir. Je m’étais limitée, j’aurais pu écrire plus, mais je ne voulais pas l’inonder.

Je lui avais envoyé dans un mail un texte de ce que j’avais vécu dans cette baignoire. J’avais en effet été très troublée, et attirée par ce jeu, ainsi que par cette photo de femme à la collerette. Pourrais-je un jour me faire ainsi asperger ?Quelle preuve de soumission…j’avais déjà été tellement secouée par ma première expérience ,  en contrepartie je m’étais tout de même rincée la bouche une bonne dizaine de fois. Je prenais doucement conscience de ce que représentait  la soumission, aller au delà de ses propres cadres, exploser ses barrière à la satisfaction de son Maître et j’aimais ça, le comblé d’un dévouement sans faille.

« Tu sais que ca peut t'amener à te retrouver encore dans cette baignoire mais cette fois c'est moi qui aurait la montre au poignet.....

-Oui, j’y ai pensé, beaucoup.

- Beaucoup?!  My god, quelle parfaite salope tu fais ! Crois-tu que tu en serais capable ?

-Je ne sais pas je crois qu’il faut que j’y réfléchisse.

-Oui, je comprends. Prends ton temps, je ne veux pas te précipiter. »

Cet échange fût bref, il était particulièrement fatigué, moi après deux nuits d’insomnies je ne sentais même plus les effets de la fatigue, j’étais dans une sorte d’état transcendantal, je voulais terminer un travail que j’avais entamé, je fini par m’écrouler une fois fini, toutes lumières allumées.

 

Le lendemain je reçu un message d’Anna sur ma boîte vocale me disant qu’ils s’étaient tous deux réconciliés. Puis de son côté il m’avait envoyé un mail au titre significatif « Un nouveau départ ». Ils semblaient tous deux prêts à repartir sur de nouvelles bases. Une date fût lancée, le lundi suivant, cela faisait six jours. Six petits jours…s’en était presque palpable.

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  • : Tout entière ou la biographie d'une apprentie soumise.
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  • : Divers
  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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